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Explorez les recherches menées par The Royal sur la toxicomanie, la dépression et l'anxiété, les traumatismes et d'autres domaines clés visant à améliorer la prise en charge des personnes souffrant de troubles mentaux et de toxicomanie.
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La recherche est un soin

Au Royal, notre équipe travaille à transformer la compréhension du cerveau et des maladies mentales, en transformant les découvertes fondées sur des preuves en meilleurs traitements, en résultats améliorés et en changements durables.

Grâce à des recherches approfondies qui favorisent l'innovation, améliorent les interventions thérapeutiques et font progresser les stratégies de prévention, nous aidons les personnes atteintes de maladie mentale et de toxicomanie à se doter des outils nécessaires pour reprendre leur vie en main.

Comprendre et traiter la dépendance

La toxicomanie est un domaine crucial de la recherche en santé mentale, axé sur la compréhension des effets de la consommation de substances sur les individus et les communautés, et sur l'élaboration de stratégies de prévention et de traitement à la fois efficaces et accessibles. Les recherches menées au Royal College of Medicine dans ce domaine explorent les facteurs sociaux, psychologiques et biologiques qui contribuent à la toxicomanie, en mettant l'accent sur le soutien aux jeunes et aux populations vulnérables grâce à des approches novatrices et adaptées à leurs besoins.

Voici quelques questions clés que nous explorons : Quels facteurs sociaux et biologiques augmentent le risque de dépendance chez les jeunes et les groupes vulnérables ? Comment les programmes de prévention peuvent-ils renforcer la résilience et réduire la consommation de substances ? Et comment adapter les traitements pour prendre en charge les troubles psychiatriques et la dépendance concomitants ?

Quelques exemples

  • Les recherches communautaires de la Dre Tanya Halsall portent sur la prévention de la consommation de substances chez les jeunes et la transformation du système, et visent à développer des programmes qui renforcent la résilience et favorisent le bien-être mental.
  • Le Dr Natalia Jaworska apporte son expertise en imagerie TEP pour étudier les mécanismes cérébraux de la dépendance et mène des recherches sur l'adaptation des traitements virtuels aux jeunes femmes souffrant simultanément de dépression et de toxicomanie.

Faire progresser la recherche sur la dépression, l'anxiété et la prévention du suicide

La dépression et l'anxiété figurent parmi les troubles mentaux les plus répandus au monde, et de nombreuses personnes ne répondent pas aux traitements conventionnels. Les recherches menées au Royal College of Art dans ce domaine portent sur de nouveaux traitements innovants, la découverte de biomarqueurs de pointe et les stratégies de prévention du suicide. En intégrant les essais cliniques, les techniques de neurostimulation et les modèles prédictifs basés sur les données, l'objectif est d'améliorer l'efficacité des traitements, de réduire le risque de suicide et d'améliorer la qualité de vie des personnes concernées.

Voici quelques questions clés que nous explorons : Quels marqueurs biologiques peuvent aider à prédire qui bénéficiera de traitements spécifiques ? Comment les nouveaux traitements de la dépression, comme la stimulation cérébrale ou la kétamine, modifient-ils le fonctionnement cérébral et les réseaux neuronaux concernés ? Et comment pouvons-nous mieux identifier et soutenir les personnes à risque de suicide ?

Quelques exemples

  • La docteure Sara Tremblay explore l'utilisation de la stimulation cérébrale, et plus particulièrement de la stimulation magnétique transcrânienne répétitive (rTMS), pour traiter la dépression.
  • Les essais cliniques du Dr Jennifer Phillips étudient la kétamine comme traitement à action rapide de la dépression et des pensées suicidaires.
  • Le Dr Zachary Kaminsky développe des algorithmes de prédiction du risque suicidaire et dirige un projet novateur visant à mettre en relation les adolescents à risque avec des réseaux de soutien afin de prévenir le suicide.

Améliorer l'accès et les résultats pour les communautés mal desservies

Nos chercheurs s'engagent à promouvoir l'équité en santé mentale en se concentrant sur les besoins des populations confrontées à des obstacles systémiques, à la discrimination ou à un risque disproportionné de maladie mentale. Leurs recherches portent notamment sur les répercussions du stress minoritaire sur la santé mentale, les approches collaboratives avec les communautés autochtones et la santé mentale légale, ainsi que sur l'étude des liens entre maladie mentale et système juridique. En identifiant les facteurs de risque, en améliorant les outils d'évaluation et en co-développant des modèles de soins adaptés aux réalités culturelles, nous visons à réduire les inégalités et à favoriser le rétablissement des personnes souvent mal desservies par les services traditionnels.

Au Royal, nous explorons des questions essentielles telles que : Quels facteurs sociaux et culturels contribuent aux troubles mentaux au sein des groupes prioritaires ? Comment adapter les services de santé mentale pour mieux répondre aux besoins spécifiques des peuples autochtones et des autres communautés marginalisées ? Quelles stratégies peuvent réduire le risque de récidive et favoriser la réadaptation des personnes impliquées dans le système judiciaire ?

Quelques exemples

  • Les recherches du Dr Michael Seto, reconnues internationalement, sur les infractions sexuelles et l'évaluation des risques, qui éclairent les services de santé mentale médico-légale dans les contextes institutionnels et communautaires.
  • La docteure Kimberly Matheson explore les impacts de la colonisation, de l'identité culturelle et de la discrimination systémique sur la santé mentale des peuples autochtones.
  • Le Dr Andrew Nicholson contribue à la recherche sur le stress minoritaire, en particulier chez les personnes LGBTQ2S+, contribuant ainsi à constituer une base de données probantes pour des approches ciblées en matière de soutien aux personnes souffrant de troubles mentaux.

Maladie mentale grave et complexe

Les recherches menées dans ce domaine prioritaire portent sur des affections persistantes, invalidantes et souvent résistantes aux traitements classiques, comme la schizophrénie, qui touche des millions de personnes dans le monde. Au Royal Hospital, les chercheurs s'efforcent de comprendre les mécanismes biologiques sous-jacents à la schizophrénie et aux maladies apparentées afin d'améliorer le diagnostic, le traitement et le rétablissement à long terme. Leurs travaux comprennent l'identification de biomarqueurs cérébraux, la prise en charge des symptômes cognitifs et négatifs difficiles à traiter et le développement d'outils numériques et psychologiques innovants pour accompagner les soins. En étroite collaboration avec les équipes cliniques du Royal Hospital, les chercheurs utilisent des approches fondées sur les données pour personnaliser les traitements et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de ces affections complexes.

Parmi les questions clés que nous explorons : comment mieux traiter les symptômes qui ne répondent pas aux médicaments actuels, notamment les troubles cognitifs et les symptômes négatifs ? Quelles nouvelles technologies et approches peuvent favoriser le rétablissement et le fonctionnement quotidien des personnes atteintes de troubles mentaux graves ? ​​Comment améliorer et personnaliser les thérapies psychologiques pour la psychose ?

Quelques exemples

  • La docteure Synthia Guimond développe des interventions numériques et virtuelles pour promouvoir la santé cognitive des personnes atteintes de schizophrénie.
  • Le Dr Lauri Tuominen utilise des techniques de neuro-imagerie avancées, notamment l'imagerie TEP-IRM simultanée, pour explorer le rôle du système cholinergique du cerveau dans les maladies mentales graves, des recherches qui pourraient mener à de nouvelles cibles thérapeutiques.
  • Les travaux du Dr Naista Zhand portent sur la schizophrénie résistante au traitement, notamment sur les efforts visant à améliorer les résultats cliniques et à explorer les médicaments adjuvants tels que les psychostimulants.

Faire progresser la recherche sur les traumatismes et les troubles liés au stress

Les traumatismes et les troubles liés au stress, notamment le trouble de stress post-traumatique (TSPT), touchent un large éventail de populations, des militaires et anciens combattants aux personnes ayant survécu à des actes de violence, des accidents ou d'autres événements bouleversants. Ces troubles peuvent avoir un impact profond sur les fonctions cérébrales, la régulation émotionnelle et la qualité de vie, nécessitant souvent des approches thérapeutiques spécialisées et personnalisées. Les recherches menées au Royal Hospital visent à comprendre les effets biologiques et psychologiques des traumatismes, ainsi qu'à explorer de nouveaux traitements innovants pour les personnes qui en sont victimes.

Voici quelques questions clés que nous explorons : Comment les traumatismes et le stress affectent-ils le cerveau et les systèmes biologiques comme l’inflammation et la régulation génétique ? Quels facteurs influencent la résilience et le rétablissement après un traumatisme ? Et comment améliorer les traitements pour favoriser la réinsertion des vétérans et des civils touchés par des événements traumatiques ?

Quelques exemples

  • Les recherches de la Dre Robyn McQuaid sur les marqueurs biologiques des traumatismes et du stress chez les jeunes adultes.
  • L'expertise du Dr David Pedlar en matière de santé et de réinsertion des anciens combattants.
  • Dr. Patrick McGrathson rôle de chef de file dans le traitement des traumatismes, notamment en matière de soutien aux civils et aux militaires touchés par le conflit en Ukraine.

Sommeil et autres transdiagnostics

Presque tous les types de maladies mentales et de troubles cognitifs s'accompagnent d'une augmentation des troubles du sommeil. Ces perturbations ne sont pas de simples symptômes ou épiphénomènes ; elles constituent souvent une entité clinique à part entière, nécessitant une évaluation et un traitement complets. La recherche montre que les troubles du sommeil sont des facteurs de risque et de maintien transdiagnostiques qui peuvent prendre diverses formes, allant de l'insomnie à l'hypersomnie, en passant par les perturbations du rythme circadien et l'apnée du sommeil.

Un sommeil de mauvaise qualité peut aggraver les troubles de l'humeur, accroître la réactivité émotionnelle, altérer les fonctions cognitives (attention, consolidation de la mémoire, contrôle exécutif) et amplifier les réponses au stress. Il peut également augmenter la vulnérabilité aux comorbidités physiques (dysfonctionnement cardiométabolique, dérèglement immunitaire), contribuant ainsi à la morbidité globale. Heureusement, les troubles du sommeil étant communs aux maladies mentales et aux troubles cognitifs, les interventions ou les biomarqueurs ciblant les processus du sommeil et du rythme circadien sont prometteurs pour un impact plus universel (c'est-à-dire transdiagnostique) chez les personnes présentant divers profils neuropsychiatriques.

Quelques exemples

Les docteurs Rébecca Robillard, Stuart Fogel, Elliott Lee, Alan Douglass, Naomi Spitale et Anthony Murkar dirigent des recherches visant à cartographier et à intervenir à l'interface entre le sommeil, les troubles mentaux et la santé cérébrale. Ils étudient notamment comment la microstructure du sommeil (ondes lentes, fuseaux), le dérèglement du rythme circadien et l'activation du système nerveux autonome influencent l'humeur, la mémoire, la cognition et la régulation émotionnelle. Cette équipe développe et teste également des interventions, comme la thérapie cognitivo-comportementale de l'insomnie (TCC-I), adaptée aux personnes confrontées à des troubles mentaux ou cérébraux, ainsi que de nouvelles interventions non invasives, telles que la stimulation auditive pour favoriser le sommeil profond.

Nous croyons en la philosophie selon laquelle la recherche est une forme de soin, ce qui ouvre un monde de découvertes et de nouvelles possibilités de traitement pour nos patients.
- Cara Vaccarino

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