Nous vous présentons Tara, la mère d’un fils adulte vivant avec une maladie mentale.

 « Cela vous brise le cœur... cela vous déchire. Vous ressentez très profondément la souffrance de votre enfant, et bien sûr, vous voulez soulager cette souffrance. »

Nous vous présentons Tara, la mère d’un fils adulte vivant avec une maladie mentale.

Par une nuit froide d’octobre, pendant les jours les plus difficiles de la pandémie, Tara faisait les cent pas dehors, sous la pluie. Elle avait pris un avion pour Ottawa afin d’aider son fils qui était en pleine crise, mais elle ne savait pas quoi faire.

« J’étais vraiment perdue; j’étais hors de moi. Je ne voulais pas aggraver la situation et je ne voulais pas appeler la police. Mais il fallait que je trouve de l’aide d’une manière ou d’une autre. »

Tara a fait plusieurs appels téléphoniques et a fini par parler à Paula, qui travaille pour l’équipe de psychiatrie communautaire du Royal. Heureusement, Paula était là pour apporter une aider à Tara et à son fils, grâce au financement des généreux donateurs du Royal.

Je vous demander d’aider les personnes comme le fils de Tara. Un don de 50 $ permettra à une personne qui vit une crise de bénéficier d’une consultation avec un professionnel de la santé mentale; un don de 100 $ aidera une personne malade à se remettre sur pied; et un généreux don de 250 $ donnera aux personnes aux prises avec une maladie mentale la possibilité de se rétablir.

Puis-je compter sur vous, et sur votre compassion et votre bienveillance, pour faire un don dès aujourd’hui?

Vous pourriez aussi faire preuve de soutien en devenant donateur mensuel. Pour aussi peu que 20 $ par mois (soit seulement 65 cents par jour!), vous fournirez une aide qui changera la vie de personnes comme Tara et son fils tout au long de l’année.

« C’est vraiment merveilleux, quand on est tout seul et sans le moindre soutien, d’avoir cette ressource à disposition », ajoute Tara. « C’est absolument fantastique. »

Grâce au soutien de généreux donateurs comme vous, le Programme de santé mentale communautaire du Royal peut offrir des services de santé mentale dans la communauté.

L’équipe de psychiatrie communautaire n’est qu’un élément de ce programme à multiples facettes. Le personnel dévoué et empathique du Programme de santé mentale communautaire travaille avec les clients à leur domicile et offre directement des services de santé mentale aux personnes vivant en marge de la société.

Votre don permettra de financer une gamme de services qui changent la vie des clients du Programme de santé mentale communautaire : sensibilisation, évaluation, consultation, formation et éducation, traitement, ainsi qu’une multitude de soutiens qui entrent dans la catégorie « autres », comme l’aide aux clients pour trouver un emploi ou un logement, ou pour renouer avec leur famille.

« C’est un peu comme semer des graines », dit Steven Walsh, infirmier en psychiatrie communautaire, à propos de son travail. « Je sème des informations dans les esprits et j’ouvre les clients aux nouvelles idées, pour que les personnes qui vivent en marge de la société puissent revenir vers moi une ou deux semaines plus tard et que je les aide à obtenir le soutien dont elles ont besoin. »

L’une des premières choses que dit M. Walsh lorsqu’il rencontre un nouveau client est : « Je ne suis pas là pour vous donner des conseils ».

Il travaille avec des sans-abri ou des personnes ayant un logement précaire et vivant avec de graves problèmes de santé mentale, de sorte que cette déclaration est souvent accueillie avec surprise.

M. Walsh explique à ses clients : « Écoutez, vous êtes ici. Vous avez réussi à traverser toutes ces épreuves dont nous allons parler, alors vous avez manifestement beaucoup de forces. Je suis ici pour vous écouter très attentivement, poser quelques questions et vous aider à comprendre quels sont vos besoins. Ensuite, je vous aiderai à trouver de l’aide. »

Chaque semaine, le personnel de l’équipe de psychiatrie communautaire du Royal travaille dans des dizaines d’organisations de la ville. Il se rend dans des refuges, des centres d’accueil, des centres de santé communautaire, des centres de ressources familiales, chez des fournisseurs de services autochtones et dans des logements sociaux.

L’équipe est composée de 10 personnes, du personnel infirmier et des travailleurs sociaux, qui répondent aux besoins en matière de santé mentale des sans-abri ou des personnes ayant un logement précaire.

« Je travaille avec des personnes qui vivent en marge de la société : des personnes qui vivent dans des maisons de chambres, des logements subventionnés, des refuges, des personnes qui dorment sur un canapé, ou même carrément dans la rue. Ces personnes avaient des familles, des relations, mais il s’est passé quelque chose dans leur vie.

L’équipe de psychiatrie communautaire peut aider les membres de la famille de ces personnes – au téléphone, en leur permettant d’exprimer leurs préoccupations, en leur faisant comprendre quelles ressources sont à leur disposition, ou en leur expliquant ce que peut ressentir leur proche malade. »

M. Walsh n’aime pas penser à ce qui arriverait à ses clients si l’équipe de psychiatrie communautaire n’existait pas.

« Ces personnes n’ont pas eu l’occasion de se faire entendre, et souvent elles se perdent dans la masse. Personne ne les remarque, à moins qu’elles ne fassent une crise aiguë de santé mentale ou qu’elles aient des pensées suicidaires. L’équipe de psychiatrie communautaire guide les gens là où ils veulent aller. Mes collègues et moi pouvons ouvrir des portes à ces personnes afin qu’elles obtiennent l’aide dont elles ont besoin », explique M. Walsh.

Tara se souvient de cette période sombre avec son fils l’automne dernier. « Sans l’aide de l’équipe de psychiatrie communautaire, je me serais sentie complètement perdue. Ils étaient là pour me donner accès à des informations, ils m’ont appris des techniques d’adaptation et m’ont fait comprendre que je n’étais pas seule. Ils ont été vraiment incroyables. »

L’équipe de psychiatrie communautaire a ouvert des portes au fils de Tara pour lui permettre d’accéder au soutien dont il avait besoin.

« J’ai été très impressionnée par l’équipe de psychiatrie communautaire », confie Tara. « Je me suis dit que j’allais leur donner de l’argent. Les membres de cette équipe sont très compétents. »

Souhaitez-vous, comme Tara, faire un don pour soutenir le travail de l’équipe de psychiatrie communautaire afin de changer des vies?

Votre don permettra à Steven Walsh et à ses collègues de continuer à aider les personnes vivant en marge de la société. Il permettra de sauver la vie de personnes comme le fils de Tara.

Merci d’être un héros de la santé mentale.

Avec mes sincères remerciements,

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Chris Ide Signature

Chris Ide
Président
Fondation de santé mentale Royal Ottawa